10 JOURS DE PÉNITENCE dans la mystique juive
Ce cours nous invite à découvrir le sens ésotérique des dix jours de repentance, Aséret Yémé Téchouva, selon les préceptes de la Kabala et de la ‘Hassidout.
Ce cours nous invite à découvrir le sens ésotérique des dix jours de repentance, Aséret Yémé Téchouva, selon les préceptes de la Kabala et de la ‘Hassidout.
La Hagada de Pessah (הגדה של פסח) est un texte utilisé pour la cérémonie et les rites du Seder durant la fête de Pessah, la Pâque juive. La Hagada est ancienne, elle date de l’époque de la Michna c’est-à-dire environ deux millénaires. Ce texte raconte l’histoire des Hébreux, leur exil et leur libération d’Égypte. Étudiée plus profondément, la Hagada devient une source intarissable d’enseignements moraux en particulier dans le monde de l’éducation. Le Rav Elie Uzan nous invite à découvrir […]
La Hagada de Pessah (הגדה של פסח) est un texte utilisé pour la cérémonie et les rites du Seder durant la fête de Pessah, la Pâque juive. La Hagada est ancienne, elle date de l’époque de la Michna c’est-à-dire environ deux millénaires. Ce texte raconte l’histoire des Hébreux, leur exil et leur libération d’Égypte. Étudiée plus profondément, la Hagada devient une source intarissable d’enseignements moraux en particulier dans le monde de l’éducation. Le Rav Elie Uzan nous invite à découvrir […]
Le fait d’être joyeux n’est pas, à proprement dit, une injonction de la Torah. La joie est en fait bien plus élevée que la stricte ligne de la loi juive, c’est la quintessence même de ce dont un juif doit aspirer tout au long de sa vie : pouvoir servir D.ieu dans l’allégresse et dans la jubilation ! Comme il est dit : « Et tu serviras l’éternel ton D.ieu dans la joie… ».
Le fait d’être joyeux n’est pas, à proprement dit, une injonction de la Torah. La joie est en fait bien plus élevée que la stricte ligne de la loi juive, c’est la quintessence même de ce dont un juif doit aspirer tout au long de sa vie : pouvoir servir D.ieu dans l’allégresse et dans la jubilation ! Comme il est dit : « Et tu serviras l’éternel ton D.ieu dans la joie… ». A travers les enseignements de nos maîtres, le Rav Michaël Taïeb […]
L’être humain a le devoir de trouver un travail et d’agir en conséquence, tant vis-à-vis de sa famille que vis-à-vis de D.ieu. Aussi, l’homme a le devoir d’étudier sérieusement la Torah ; cependant nous sommes obligés de reconnaitre qu’il est difficile de lier ces deux mondes. A travers ce cours, le Rav Nissim Roumani nous apprend comment concilier Torah et carrière.
A notre époque, l’homme est tellement préoccupé par ses différents centres d’intérêts, qu’il passe, malheureusement souvent, à côté de choses fondamentales de sa vie. Comme l’harmonie de son couple par exemple… Cela dit, Existe-t-il une technique miraculeuse et facilement applicable, qui aiderait au Chalom Baït, la paix dans la foyer ?
Il faut vivre pleinement son judaïsme, s’imprégner très profondément de la Torah et des Mitsvot pour faire un avec eux. Chaque Mitsva doit être accomplie avec toute notre force, toute notre énergie, de telle sorte que tout notre être doit participer dans l’accomplissement d’une Mitsva, aussi petite qu’elle puisse sembler. De la sorte, dans n’importe quelle situation, on devra ressentir le judaïsme du plus profond de nous-même, accomplir les commandements non pas parce qu’on en est contraint mais tout simplement […]
« Attache-les en signe sur ta main, et porte-les comme un fronteau entre tes yeux.» (Deutéronome 6:4-9) C’est en ce sens que les Téfilines posés à la fois sur la tête (siège de la pensée), orientés vers le cœur (siège des sentiments) et placés sur le bras (symbole de l’action concrète) sont un appel à la cohérence de l’ensemble des forces vives qui composent l’homme.
Le Talmud relate un fait tout à fait mystérieux : Il n’y eu pas de jour plus joyeux pour le peuple juif que le 15 Av et le jour de Kipour. Les filles dansaient dans les champs et invitaient les jeunes hommes célibataires à les choisir comme épouse ! Pourquoi ces jours sont si heureux ? Qu’en est-il de la pudeur ? Quel rapport avec Yom Kipour ?
Le concept de récompense et de punition existe bel et bien dans le judaïsme. La question est donc souvent posée : Peut-on servir D.ieu avec intérêt et espérer une quelconque récolte pour nos bonnes actions ? A travers ce cours sur la Mitsva des Téfiline, le Rav Raphaël Halimi nous invite à découvrir cette idée.
LES TÉFILINE : « Tu les attacheras en signe sur ta main et en fronteau entre tes yeux. » (Deutéronome 6, 8). Il existe une différence fondamentale entre les Téfiline du bras et celles de la tête. L’une pour les sentiments et l’action, et la seconde pour l’esprit et la réflexion. Pourquoi cette différence ? A travers ce cours, le Rav Raphaël Halimi nous invite à agir pour mieux comprendre.
La Paracha de Dévarim est constamment lue avant la date tragique du 9 Av, Tichea Béav, date à laquelle les deux temples de Jérusalem furent détruits. Lorsque le 9 Av tombe pendant Chabbat on acquière la force de transformer l’obscurité en lumière. C’est grâce à l’exil que l’on obtient la rédemption.
Il est dit que la Torah a été donnée afin d’amener la paix dans le monde. Elle pour nous source d’enseignements jour après jour. A travers ce cours, le Rav Chimon Ariche nous invite à découvrir, avec originalité, la puissance de l’étude de la Torah.
La prière est essentielle, c’est le début de tout être. En réalité, à travers la Tefila, l’homme a le pouvoir de trouver son propre centre énergétique d’une part, et dévoiler l’harmonie entre les âmes d’autre part. Le Rav Nissim Roumani nous invite à découvrir les énergies incommensurables de la prière qui unit les êtres entre eux.
Qu’appelle-t-on communément « la Téfila » ? En quoi cela consiste exactement ? Comment aborde-t-on la prière dans le judaïsme ? A travers ce troisième cours, le Rav Emmanuel Mergui nous invite dans le monde de la prière.
L’homme est depuis toujours en quête de bonheur. Chacun souhaite la réussite et voir enfin les fruits de ses mains bénit de la douce providence. Comment y arriver ? Quel sont les enjeux ? Par ailleurs, existe-t-il une différence entre la prière des hommes et celles des femmes ? A travers ce cours, le Rav Chimon Ariche nous invite à recevoir la bénédiction d’Hachem.
La Hagada de Pessah (הגדה של פסח) est un texte utilisé pour la cérémonie et les rites du Seder durant la fête de Pessah, la Pâque juive. La Hagada est ancienne, elle date de l’époque de la Michna c’est-à-dire environ deux millénaires. Ce texte raconte l’histoire des Hébreux, leur exil et leur libération d’Égypte. Étudiée plus profondément, la Hagada devient une source intarissable d’enseignements moraux en particulier dans le monde de l’éducation. Le Rav Elie Uzan nous invite à découvrir […]
Qu’est-ce-que la bénédiction ? Existe t-il une différence entre le fait de bénir et celui de prier à proprement dit ? Qui est capable de bénir les autres ?… A travers ce cours, le Rav Elicha Schapira nous invite à découvrir quel est le sens de la Bera’ha, la bénédiction. En effet, plus qu’un souhait, la bénédiction est un véritable cadeau offert à celui qui est bénit.
Rabbi Akiva enseigne dans le talmud : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Lévitique – 19, 18), cela est un grand principe de la Torah. Aimer, tolérer, estimer, respecter son prochain afin de mieux s’accepter soi-même, est aussi l’une des déductions de ce concept. A travers ce cours, le Rav Mendel Mergui revient sur l’un de nos plus grands commandements.
A travers une histoire extraordinaire, le Rav Chmouel Maarek nous invite à découvrir la force la prière.